Monsieur Klein*
c'est : une exploration des thèmes de l'identité, de la culpabilité et de l'inéluctabilité du destin. Le film, plonge le spectateur dans une atmosphère de tension où chaque scène semble inexorablement mener vers une conclusion terrible. Cet homme qui se retrouve pris dans un engrenage de circonstances et d'événements qui le dépassent, illustrant comment, une fois le doigt coincé dans l'engrenage, il est impossible de s'en échapper.
Le récit est une méditation sur la nature inévitable de certaines réalités, où même si l'on entrevoit une fin terrible, on est emporté sans pouvoir s'arrêter. Cette sensation d'inéluctabilité est renforcée par une atmosphère de claustrophobie. Les personnages, bien que conscients des dangers qui les entourent, semblent impuissants à changer le cours des événements, capturant ainsi l'essence même de la tragédie.
Et surtout, c'est : l'humain face à des forces qui le dépassent, une capture de l'angoisse et de l'impuissance face à l'inévitable.